Cet arrêté remplace l’arrêté n° 53 de l’année 2020
Cet arrêté remplace l’arrêté n° 53 de l’année 2020
La préfecture de l’Ain organise une journée de création de comptes SIA en sous-préfecture de Belley
le jeudi 12 décembre 2024
à destination des détenteurs d’armes, sur rendez-vous uniquement.
Vous trouverez plus d’informations dans le communiqué de presse en PJ.
Cordialement,
Ondine Tavernier
Adjointe à la cheffe de bureau
Bureau des polices administratives
45, avenue Alsace Lorraine – 01000 Bourg-en-Bresse
Tél : 04 74 32 30 00
www.ain.gouv.fr<http://www.ain.gouv.fr>
[X]
Cabinet de la préfète de l’Ain – Direction des sécurités
La Direction Départementale des Territoires de l’Ain, en partenariat avec l’Association des Communes forestières, vous fait parvenir l’arrêté relatif à la lutte contre les scolytes de l’épicéa commun : vous trouverez le lien ci dessous.
Cet arrêté préfectoral induit des obligations pour tous les propriétaires forestiers sur votre territoire communal.
L’arrêté étend à toute la partie montagneuse du département la zone de lutte obligatoire contre les scolytes de l’épicéa, soit 180 communes.
Des obligations s’y appliquent en 2024 pour tous les propriétaires forestiers, privés comme publics, ainsi qu’aux exploitants forestiers dès lors qu’ils ont acheté des bois :
Les personnes chargées de l’application de cet arrêté qui doit être affiché dans chaque commune sont les maires, les services de l’Etat (Préfecture, DDT, Gendarmerie) ainsi que l’ONF et le Centre national de la propriété forestière.
Les communes adhérentes pourront notamment trouver des éléments d’information et de contexte dans le zoom de la lettre d’information de notre association.
Les coordonnées du Service mentionné à l’article 4 de l’arrêté (signalement) sont disponible ici :
Arrêté Scolytes(cliquez sur le lien)
CONDITIONS D’UTILISATION
Cet espace est mis à votre disposition pour nous adresser un message par voie dématérialisée.
Nous vous rappelons que les propos à caractères injurieux, racistes ou diffamatoires, constituent des délits sanctionnés de trois ans d’emprisonnement et d’une amende de 45 000 euros (article 441-1 du code pénal).